History:"minas"

Nombre de messages : 14 Date d'inscription : 04/03/2007

Auteur "Minas" texte copier pour sauvegarde

Je m'appelle Minas, Minashigo parce que je suis orphelin.
Orphelin ou abandonné je ne sais pas, je n'ai jamais connu mes parents. Je sais que j'ai un frère mais je sais rien de lui. Je ne connais ni son nom ni son visage pourtant je sais qu'il existe. C'est en moi, je l'ai toujours su. Cette certitude m'a toujours habitée d'aussi loin que ma mémoire remonte.

Ma petite enfance je l'ai passée chez une vieille femme. Etait elle de ma famille? Je l'ignore. Elle me donnait à manger et j'avais un lit chez elle mais ma mémoire a effacé toute trace d'affection qu'elle aurait pu avoir envers moi, je ne me rappelle même plus le son de sa voix. Un jour j'ai trouvé la porte fermée sans plus d'explication. Etait elle morte, était elle partie? Dans le quartier où nous vivions chacun s'occupait de ses affaires sans regarder les autres. Je me suis retrouvé à la rue sans que cela n'émeuve personne.

La vie dans la rue est dure. Il n'y a pas de règle, il n'y a pas de loi. Les plus forts dominent souvent mais si vous êtes malins vous tirerez votre épingle du jeu plus souvent que par la force. Moi j'ai commencé à manger dans les poubelles. Puis j'ai trouvé que les étalages des boutiques offraient plus de nourriture et bien meilleure.

La première fois que j'ai volé, j'ai attrappé une grappe de raisin en passant à la course devant la boutique. Dès que j'ai eu le raisin dans ma main j'ai senti mon coeur battre plus fort, mon souffle me brulait et mes oreilles bourdonnaient. J'ai tellement courru, tellement serré mon raisin que lorsque je me suis enfin arreté il ne restait que quelques grains, mais qu'ils étaient bons.

La deuxième fois que j'ai volé, j'ai pris autre chose que du raisin. C'était facile, mon coeur ne battait plus trop vite. Je courrais, j'attrappais et je disparraissais. La troisième fois je suis arrivé en courrant, j'ai saisi mon repas et je n'ai pas fait plus de 10 mètres avant de m'étaler entravé par le manche d'un balai lancé dans mes jambes. Avant que je puisse me relever, un homme m'a saisi par le col, il m'a entrainé dans une ruelle et roué de coups. Il m'a laissé sans connaissance avec deux dents en moins. Quand je me suis réveillé, je me suis trainé jusque sous un tas de cartons où je suis resté deux jours. Après ça je n'ai plus jamais courru pour voler.

Je me fondais dans le décor, j'étais là mais invisible, je ne me précipitais plus pour saisir mon larcin mais j'attendais paisiblement le bon moment. Très vite j'ai été doué, très doué. Je volais de tout, du nésséssaire et du superflu, parfois par simple défi, cela s'est su, tout se sait dans la rue et j'ai eu des commandes. Les petits caïds des bandes de gosses des rues me demandaient de leur rapporter de l'alcool, un blouson, une montre ou un bijou. Ca marchait bien, jusqu'à Sharky.

Nombre de messages : 14 Date d'inscription : 04/03/2007

-Sharky était le chef de la plus grande bande de gosses de la ville, il avait sous ses ordres au moins une centaine de gamins ou plus. La bande de Sharky touchait à un peu tout, rackett, vol, trafics, prostitution. Sous des apparences innocentes il était redoutable. Sa spécialité était d'envoyer une douzaine de gamins uriner devant une boutique, puis une autre douzaine puis encore une autre. Ensuite gentiment Sharky passait à la caisse. Il m'avait commandé une montre de marque. Ce genre de montre se trouve dans les bijouteries de luxe, chez les prèteurs sur gage bien armés ou au poignet des riches citoyens. Les bijouteries de luxe avait un système de sécurité que je ne pouvait pas contourné, j'aurai pu tenté un tour de passe-passe chez un prèteur sur gage mais lui faire sortir la montre pour l'exposer à un gamin... Genre: c'est pour mon papa, ze veux lui faire un bô cadeau. Quant au poignet des riches, il fallait d'abord neutraliser le porteur. C'est là que la chance me sourit.

Il y a des lieux qui se prètent au vol mieux que d'autres. Mes préférés sont les mariages et les enterrements. Les mariages réunissent deux familles qui ne se connaissent pas. Personne ne s'étonnera de ne vous avoir jamais vu avant, pas même les mariés. Tout le monde est à la fête, les sacs et les vestes trainent, il suffit de moissonner. Les enterrements sont moins bien mais vous trouverez toujours quelques cousines qui papotent en laissant trainer un tas de choses. Tout le monde vous prendra pour le petit d'une lointaine parente pourvu que vous soyez bien sagement assis sur votre chaise, une fois que vous faites parti du décor personne ne s'étonnera de vous voir bouger.
De lourdes tentures sombres ornaient une entrée, par habitude j'entrai. Le couloir menant à la chambre du défunt était désert. Le mort était présenté dans son cercueil, c'était un vieux, décharné, il avait l'age d'y aller. Aucun héritier potentiel ne montait la garde près du corp, pas une pleureuse, pas un curé. Le vieux était seul. C'est alors que je la vis à son poignet, une montre de luxe, en or, tout à fait ce que je cherchais. La minute suivante le vieil homme venait de me coucher sur son testament, il aurait au moins un héritier.

Sharky fut ravi. Il la voulait mais il s'assombrit quand j'annonçai le prix. 20000 crédits c'était une belle somme même pour Sharky. Il piqua une grosse crise, me traita de tous les noms puis il se mis à rire, il fit un signe et je fut aussitot saisi, ceinturé, plaqué au sol. La montre changea de main. Je subis encore quelques sarcasmes sans violence puis Sharky se jeta sur moi et s'acharna à coups de pied, il me fit ramper jusqu'au bout de la ruelle avant de s'arreter de taper.

Le soir même j'attendais Sharky. J'étais perché dans la charpente métallique du hangar où sa bande se regroupait. Je tenais à la main un sac, dans le sac un pavé et j'attendais que ma cible veuille bien passer à ma portée, qu'il s'immobilise juste en dessous.... J'ai attendu, longtemps. Puis quand le moment fut venu, j'ai juste ouvert mes doigts. J'ai vu les sac filer vers le sol et presque sans bruit exploser la tête de Sharky.

Tuer quelqu'un en impose aux autres. Ils savent que vous êtes capable d'aller jusqu'au bout. Personne ne m'avait vu mais tout le monde se doutait que c'était moi. Un petit chef du nom de Raoulo avait repris le buisness de Sharky mais d'autres se disputaient aussi sa succession sans parler des chefs d'autre bandes qui comptaient bien faire main basse sur le territoire du caïd mort. Un soir un petit vint me voir:
- C'est toi qui a tué Sharky?
- Si tout le monde le dit, ça doit être vrai.
- Raoulo est jaloux, il dit que c'est lui qui l'a tué. Il a mis un contrat sur toi. 500 crédits.

C'est pourquoi le lendemain, je poussai la porte d'une agence de recrutement. Je mentis sur mon age et je vis bien que le recruteur avait envie de croire à mon mensonge. De toute manière je devais quitter la ville.

Nombre de messages : 14 Date d'inscription : 04/03/2007

Ma première planète fut terrible. J'étais passe-muraille comme des centaines d'autres enfants enrolés de gré ou de force pour cette conquète. J'avais un uniforme un peu trop grand, pour les manches et les jambes ce n'était pas génant mais si j'essayais de mettre le casque il me tombait jusqu'au bout du nez. De toute manière le casque servait essentiellement d'ustensile de cuisine pour cuire se que l'on pouvait chaparder. Les passe-murailles sont le prolongement des démineurs chargés de nettoyer les ruines des villes conquises. Notre travail consiste à aller poser les charges des sapeurs pour faire sauter les batiments inutilisables tout en repérant les mines piégées laissées par l'ennemi. Il meurt beaucoup de passe-murailles. Les mines posées par les vaincus peuvent prendre une infinité de formes et sachant qu'il ont affaire à des enfants, souvent affamés, la plupart se trouvent cachées dans un jouet ou une friandise. Mais parfois il suffisait de pousser une porte. Nous devions aussi redouter l'empressement des sapeurs qui devaient déblayer le terrain au plus vite. Il arrivait qu'une fois la charge posée le passe-muraille n'ai pas le temps de se mettre à l'abri avant que les démineurs la fasse sauter ou parfois une mauvaise manipulation ou un mauvais montage rendait la charge instable et le gamin partait en fumée.

Mon démineur à moi s'appelait sergent Steack, je crois qu'il se nommait comme ça parce qu'il pouvait engloutir des quantités de viande incroyables. Et comme il avait de gros besoin et que j'avais un certain talent pour trouver des choses, je devais chasser pour lui après le déminage. L'avantage c'est que sur tout ce que je volais pour le sergent j'arrivais à cacher de bons morceaux qui m'assuraient de ne pas craindre la faim. Même la conquète finie le déminage se poursuivi pendant l'optimisation de la planète, le rythme était moins oppressant mais le danger était toujours présent.

Ma deuxième planète (oui je sais, j'en parle comme si elles m'appartenaient ces planètes mais tellement de moments intenses de ma jeune vie y sont rattachés que je me les suis attribuées. Et puis n'importe quel soldat parles de ses campagnes même si il n'était pas le général en chef) marqua le tournant de mon destin. De passe-muraille j'étais à présent passé ravitailleur. Mes missions consistaient juste à apporter tout ce que l'on me commandait aux premières lignes. Sans participer aux combats, d'ailleurs je n'étais pas armé, j'étais exposé comme n'importe quel marine, parfois plus car je devais me déplacer même sous les tirs de mitraille ou les pilonnages.

Mon destin prit forme sur la cote 628. C'était un mamelon fortifié qui défendait l'accès à une plaine. Nous devions le tenir et nous le tenions bien. Les meilleurs soldats y étaient en poste et tous les assauts ennemis avaient été facilement repoussés. Je devais y porter un pli et dans le froid matin, je franchis les postes de garde de la cote 628. Le capitaine à qui je devais remettre le courrier était très jeune, pas autant que moi mais il ne devais pas avoir plus de 22 ans. Pendant qu'il lisait et que j'attendais la réponse à transmettre, nous entendîmes, comme tous le monde d'ailleurs, un lourd grondement montai vers nous. Le capitaine se jeta dehors, il hurla des ordres aux hommes déja en place à leur poste de combat. L'obscurité du petit matin ne permettait pas de discerner le danger qui venait vers nous. Un sous-officier s'adressa au capitaine:
- Ce ne sont pas des tanks, ça se déplace trop rapidement.
- Non pas des tanks. Je ne sais pas de quoi il s'agit et je n'arrive pas à évaluer la distance. Que dit le radar?
- Rien mon capitaine. Ecran vide.
Puis un cri déchira la nuit:
- Des bombardiers!!
Et nous les vîmes aussi.
Dans la nuit deux bombardiers lourds escaladaient pratiquement la coline et montaient vers nous en volant à moins de 20m du sol, leur vitesse réduite leur imposait de pousser les moteurs au maximum pour ne pas décrocher.
- A toutes les batteries: FEU!!!
- Mon capitaine, les BAA sont inutilisables, elles ne peuvent pas tirer vers le bas, et il faudrait énormément de chance pour toucher un avion avec une arme anti-char.
Tous le monde tirait. Tous les fusils, les lances-roquettes, les mitrailleuses lourdes (c'est elles qui avaient le plus de chance contre les bombardiers).
Puis les avions furent sur nous, dans le bref instant où ils passèrent au dessus de nos têtes on aurait cru pouvoir les toucher. On distingait très nettement le mitrailleur dans la tourrelle de soute et la gueule béante de la soute et la bombe qui basculait vers nous. Les BAA étaient entrées en action, la tourrelle de soute explosa déchiquetant le mitrailleur. Puis ce fut le noir, la seule image que j'avais c'était mon pavé filant vers la tête de Sharky.

Nombre de messages : 41 Date d'inscription : 25/02/2007

Tainnnnn vivement la suite...... Laughing

Invité

symbol de l'orphelin

Invité

"minas" en lisant le rp je le voie comme sa

History:"minas" 40191576co6

-=[Membre]=- Nombre de messages : 89 Date d'inscription : 22/02/2007

lol naruto powaaa

Nombre de messages : 14 Date d'inscription : 04/03/2007

J'étais couvert de boue et de sang. J'avais mal. La douleur irradiait dans tout mon corps, mon épaule et mon bras gauche pendaient. Je marchai en trainant ma jambe gauche vers un petit groupe quand je vis les ombres bouger. Je pointai ma main valide dans la direction des troupes montantes et je criai. Je criai pour vivre, je criai parce que je pouvais encore le faire parce que je voyais que dans moins d'une heure ma gorge serait tranchée par la lame d'un commando.

Les soldats d'élite, enfin ce qu'il en restait était déja au combat.
Soit parce qu'il m'avait prit pour leur jeune capitaine, soit tout simplement parce qu'ils ne voulaient pas mourir, ils crachaient le feu sur les troupes qui nous assaillaient. Des centaines de fantassins avaient prit position silencieusement pendant la nuit attendant que les bombardiers donnent le signal de l'assaut. Nos soldats étaient surement meilleurs mais que pouvaient faire une poignée d'hommes contre des centaines? Pour rejoindre les défenseurs je passai devant les bunkers éventrés par les bombes. Le toit de l'un d'eux s'était effondré tuant surement tous ceux qui y avait trouvé abri. Sur le toit du bunker le socle en béton d'une BAA avait basculé, les canons anti-aériens inutiles tout à l'heure étaient maintenant pointés vers la troupe ennemie. Je me hissai jusqu'au siège de visée, je pris la poignée de tir avec ma main droite et j'appuyai. Les 8 canons de 25mm de la BAA commencèrent à cracher la mort sur le rythme syncopé qui leur est si caractéristique creusant un grand trou dans la ligne offensive. Deux Hommes empoignèrent les arceaux de la BAA et faisaient pivoter le socle de béton pour orienter le tir dans d'autres directions, un troisième s'occupa de l'alimentation des boites de munition. Je sentai le chaud des canons et la poudre me brulait les yeux. Nous avons tiré, tiré, tiré. La vague humaine ne montait plus vers nous, les fantassins stoppés par ce tir étaient cloué au sol, puis petit à petit on les vit refluer. Ils commencèrent à reculer lentement, d'abord en rampant, puis ce fut la débacle totale, ils dévalèrent la pente en courrant le plus vite possible fuyant le carnage de toute leurs forces.
Je crois que c'est à ce moment là que je me suis évanoui...

Quand je me suis réveillé, j'étais dans des draps qui sentaient bon. On m'avait lavé et mon bras gauche était entièrement bandé. Un vieux type s'approcha. Il avait toute une panoplie de médailles et plein de galons. Ca devait être au moins un général.
- Alors mon garçon, on s'est battu comme un lion?
Comme je ne répondais rien il reprit:
- Tu sais quand j'ai appris qu'un jeune homme avait repoussé une offensive majeure sur la cote 628 presque à lui tout seul, j'ai cru qu'il s'agissait de mon garçon. Il était fort et brave aussi mais il n'a pas eu ta chance. Une bombe l'a pulvérisé... Il... Quand tu as pris les commandes de tir de la BAA, ses hommes t'ont prit pour lui... Je suis sur qu'il se serait bien battu. Tu sais que tu vas avoir une médaille?
Il me sourit.
- Comment t'appelle-tu d'abord? Tu n'avais aucun papier.
- Minashigo, monsieur.
- Minashigo? L'orphelin? Tu es un de ces petits rats de tranchée que l'on envoie à la mort?
Il se retourna et marcha un peu, il paraissait réfléchir.

La chambre était claire, ça sentait le confort. Jamais je n'avais connu pareille chose. En fait cela m'impressionnait plutot.

Il revint:
- Minashigo... Minas, peut être est-ce le destin....
- je m'appelle Minashigo.
- Comme tu voudras. Voudrais tu devenir un chef, Minashigo?
- Je ne sais pas, un chef comme vous?
- Oui en quelle que sorte. Aimerais tu commander à des milliers d'hommes, être respecter?
- Oui mais un chef ça a toujours un chef au dessus de lui? Vous, quelqu'un vous commande même avec tous vos galons?
- Tu es intelligent, c'est bien. Minashigo, j'ai un grand projet pour toi. La bataille m'a pris un fils et la bataille m'en a donné un autre. Si tu veux je ferai de toi un grand samouraï, mais longue est la route qui mène à l'hagakure.
Il sourit encore puis se dirigea vers la porte, avant de sortir il se retourna:
- Sais tu qui je suis?
- Oui, vous êtes un général.
- Je suis le Shogun et personne ne me commande.

-=[Membre]=- Nombre de messages : 20 Date d'inscription : 09/06/2007

Le Dojo, planète Zen-Dera.

J'étais à l'entrée du batiment et je ne parvenais pas à avancer. Je savais qu'une vie meilleure m'y attendait mais je sentais que je devrais abandonner toute la liberté que j'avais conquise aux cours de toutes mes années dans la rue.

Je portais un bel uniforme fait sur mesure. J'étais un peu géné dedans, l'étoffe neuve ne connaissait pas encore mon corp et ma façon de bouger et puis vêtements trop bien ajustés ne correspondaient à qui j'étais vraiment. Mon bras gauche, encore bandé, ne me faisait plus souffrir, je devais seulement l'économiser.

Trois élèves sortaient du dojo. Ils étaient grands et se poussaient en rigolant, ils stopèrent devant moi.
- Mais quelle est cette chose qui nous arrive là?
- Il est mignon avec son uniforme taillé dans ses langes.
- Comment allons nous l'appeler?
- Osanago? (le bébé)
- Je crois que nous en avons déja un ou deux, il faudrait lui trouver quelque chose de plus original.
- On dirait un poussin qui sort de sa coquille dans son uniforme neuf. Appelons-le Hiyoko.
- Bonne idée! Voyons si cet oisillon sait chanter.

Le plus grand des trois empoigna en riant ma veste d'uniforme par le col.
- Siffle Hiyoko! Siffle ou je t'arrache ton joli plumage.

Ce que la rue m'a appris, c'est qu'il est inutile de craindre le danger et puis ces apprentis guerriers auraient surement mouillé leur uniforme si ils s'étaient trouvé face aux commandos ennemis sur la cote 628.
Je frappai le premier. Un coup de pied violent dans le genou de celui qui me tenait. Il lacha prise mais les deux autres me sautèrent dessus.
L'uniforme craqua et les 18 boutons s'éparpillèrent sur le sol. La veste s'ouvrit et ils virent.
Epinglée sur ma chemise, le cordon pourpre de la bravoure.
Les trois gakuseis s'arrètèrent trop étonnés pour réagir. Cette hésitation allait leur être fatale. Le petit Katana d'ornement que je portais au coté armait maintenant ma main valide et elle se dirigeais vers la gorge de mon agresseur le plus près.

- Assez!! Arrètez cela!
Un maître du dojo était sorti. Il se dirigeait vers nous.
Les trois élèves se courbèrent rapidement vers le sol.
- Maitre, cet enfant a volé une médaille...
- Taisez vous, idiots!
Il se tourna vers moi et demanda rudement:
- Tu es minashigo?
- Oui... maitre.
- Tu es insolent et ignorant. Tu as manqué de respect à ces garçons qui sont tes ainés. Tu feras trois jours de cachot. Cela te laissera le temps d'apprendre le réglement du dojo.
Les autres avaient du mal à retenir leur rire, le maitre se tourna vers eux:
- Vous êtes les pires animaux que cette école ai jamais accueilli. Non seulement vous agressez un enfant mais vous me forcez à intervenir pour qu'il ne vous tue pas, pour cela vous ferez aussi trois jours de cachot. Vous ramasserez les boutons que vous avez arrachez et vous les recoudrez, vous nettoierez son uniforme. Au sujet de cette médaille, vous devrez apprendre pourquoi Minashigo la porte. Au terme de votre punition, vous lui rendrez les honneurs qu'il mérite. J'ai dit!

Invité

la suite,la suite et n'oublie de gérer ta corpo...ah orphelin un jour

-=[Membre]=- Nombre de messages : 20 Date d'inscription : 09/06/2007

takeda a écrit:: la suite,la suite et n'oublie de gérer ta corpo...ah orphelin un jour

Je gère, je gère. Smile

A ce sujet j'aimerai savoir si tu préfères que l'on vende l'énergie entre nous donc j'attendrai une demande ou je la laisse en vente libre.

Si c'est en vente libre, pourrais tu inscrire Minashigo sur le forum BC, je n'ai plus d'adresse dispo. Je pourrai poster le rp ça fera de la pub. Laughing

Invité

Adopter un enfant qui disait.. je t'inscrit sur bc et pour l'energie change de prod passe en mode composant

sa se vend plus facilement,jai stoper la prod d'énergie des plus gros producteur du cst.

la nouvelle stratégie économique sera poster et discuter en zone gestion.

-=[Membre]=- Nombre de messages : 20 Date d'inscription : 09/06/2007

le 13/06. Minashigo a écrit:: Le compo c'est du pipi des gestionnaire. Le cours est artificiellement haut, ça ne sert à rien et puis ça vaut moins que l'énergie pour une prod égale.

Si demain le compo sert à qq chose j'en produirai pour l'instant c'est perdre des crédits. Mieux vaut mettre 3X une vente d'énergie sur le marché et la vendre bien au bout que brader des compos. De toutes manières ils se vendent pas mieux que l'énergie.

Alors tu produis encore du compo??? Mr. Green

Invité

Minashigo a écrit:

le 13/06. Minashigo a écrit:: Le compo c'est du pipi des gestionnaire. Le cours est artificiellement haut, ça ne sert à rien et puis ça vaut moins que l'énergie pour une prod égale.

Si demain le compo sert à qq chose j'en produirai pour l'instant c'est perdre des crédits. Mieux vaut mettre 3X une vente d'énergie sur le marché et la vendre bien au bout que brader des compos. De toutes manières ils se vendent pas mieux que l'énergie.

Alors tu produis encore du compo??? Mr. Green

je produit artillerie et me suis mit dans l'acier...augmentation d'extraction

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